Cela faisait déjà plusieurs jours qu’il demandait pour avoir sa journée au complet de libre et voir plus mais il on simplement accepté une journée pour le moment. il est pas très content mais c’est mieux que rien. Il se réveille à la base se matin, il avait du y dormir, il envoie un message texte à sa douce pour lui dire qu’il avait eu sa journée et que il voulait la passer avec elle. Il allait l’attendre au parc vers 10hrs le temps qu’elle se fasse belle. Lui aussi va se faire beau, il va enfin pouvoir la serrer dans ses bras longtemps, plus longtemps que deux heures avec elle. Cela ne fait pas des enfants forts. Il voulait avoir une famille avec elle. il se lève pour aller dans la douche, après quinze minute il sort pour se séché, il se coiffe puis se met des vêtements civil. Un jeans, un chandail avec un manteau chaud car à Sitka il ne fait pas chaud, vive le nord. Il va dehors puis rentre pour retiré son manteau et mettre sa veste, il semble faire plus chaud que prévu. Il prend ses clefs pour les mettre dans ses poches afin de marcher pour sortir de la réserve. Il fini par arrivé vers dix heure moi quart. Il regarde son portable pour attendre devant le parc qu’elle arrive. Il a tellement hâte de la serrer dans ses bras de l’embrasser. Cela fait deux jours qu’il est obligé de dormir à la base. Le confort de chez-lui lui manque, le confort d'être avec la femme qu'il aime de pouvoir la serrer dans ses bras lui manque plus que jamais. Il regarde sa montre pour voir les seconde passer très lentement, elle lui manque trop qu'il ne peut que s'ennuyer loin d'elle. Levant la tête il la vit au loin arrivé, un large sourire se dessine sur ses lèvres.

J’avais besoin de lui plus que jamais auparavant et pour la première fois dans toute ma vie je me sentais aussi malheureuse. J’avais acceptée d’emblée de suivre Skylar en Alaska, lorsqu’il y avait été assigné. Ce n’est pas pour rien qu’on était arrêté dans une chapelle à Las Vegas pour s’unir avant. Oui notre relation comportait plusieurs hauts et bas, mais pour le moment je me concentrais sur l’amour que j’éprouvais à son égard. Le problème, c’était que je le voyais tellement peu souvent que j’avais l’impression d’être restée à San Diego. Je savais qu’ils devaient le former entièrement avant qu’il soit prêt à partir à la guerre si on le lui insurgeait. Par contre, je trouvais la base très injuste de nous séparer aussi longtemps, alors que nous étions tous deux nouvellement mariés. Je regardais autour de moi et je voyais sans cesse des maris rentrer chez eux le soir alors que le mien devait rester à la base. Je me demandais si c’était lui qui l’avait décidé parfois, peut-être déjà fatigué d’être toujours avec moi. J’avais toujours été on ne peu plus mal avec moi-même, et Sky avait été le seul à me redonner l’estime de moi que j’avais perdu. Hélas, depuis notre arrivée à Sitka, je me sentais sombrer vers diverses tentations toute plus affreuses les unes que les autres. Je me sentais seule, terriblement seule et je n’avais tellement pas beaucoup d’amis que s’en était risible. Alors lorsque Jules était rentré dans ma vie, je n’avais pas pût lui refuser tout ce qu’il me demandait. Non qu’il m’abusait, loin de là, mais je sentais quelque chose d’assez étrange se former entre nous. Ça me faisait terriblement peur, la solitude me faisait faire des choses que j’avais peur de regretter. D’ailleurs, avant de faire quoi que ce soit d’autre, j’avais rendez-vous avec l’homme que j’aimais et j’avais besoin de ne pas être en retard. J’étais sortie en trombe de chez nous, tellement que je n’étais même pas certaine d’avoir fermé à clé. Je marchais à vive allure vers notre point de ralliement, dans le parc de la ville. Nous aurions pût nous voir dans la maison, mais j’avais eut envie de prendre l’air, écœurée de rester toujours dans l’école ou à la maison. Lorsque je l’aperçu au loin, dans le parc, mon sourire explosa en puissance mille. Je courrai jusqu’à lui en lui sautant dans les bras, sans ménagement. Après tout, il était un soldat, il était capable d’en prendre! « SKY! Tu m’as manqué, c’est fou! » Oui, trois jours sans ce voir c’était déjà trop, surtout lorsqu’on sentait la tentation de plus en plus près!